Les activités d'intégration ont été arrêtées le 16 mars au moment du confinement. En cette situation encore inconnue de nos activités, les industriels Alten et Soterem, ne pouvant plus entrer sur le site du CNES à Toulouse, ont alors rendu la responsabilité du satellite au CNES qui en a pris le relais en maintenant les conditions de propreté de la salle blanche et en procédant régulièrement à la vérification des équipements.

Ce processus est pensé pour faciliter l’accès à un financement du CNES pour développer une solution innovante applicables aux futurs projets spatiaux. Il est aussi voulu pour que soit rapidement démontré l’intérêt de la solution innovante proposée, avec à la clé une éventuelle poursuite du support CNES dans un cadre R&T.